Le plus illustre des poètes, HUGO, était musulman.Campagne mondiale pour la sauvegarde de l’intégralité de son œuvreS’agissant du livre d’Henri GUILLEMIN « HUGO », il commence par une citation du poète qui revêt toute sa signification aujourd’hui :« je m’ignore ; je suis pour moi-même voilé, DIEU seul sait qui je suis et comment je me nomme ».Voici quelques extraits de poèmes islamistes de la Légende des siècles affichés tardivement sur INTERNET. Rien ne permet de se prononcer sur leur exhaustivité. Pire encore, des vers qui ne sont pas de HUGO y ont été rajoutés. Ces pratiques d’un autre âge ne peuvent s’expliquer que par la volonté toujours entretenue de faire baigner le monde dans l’ignorance sur les écrits islamistes...
Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire dédié au prophète MOHAMED (psl) Le lendemain matin voyant l'aube arriver: "Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. Et sa femme Aïsha se tenait en arrière; Il écoutait pendant qu'aboubèkre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permit d'entrer. "Qu'il entre."On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance; Et l'ange lui dit:"Dieu désire ta présence. Bien", dit-il Un frisson sur ses tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut » Extrait du poème Cèdre dédié à Seydina Omar, deuxième calife de l’islam, compagnon du...
Omer, le puissant prêtre, aux prophètes pareil, Aperçut, tout auprès de la mer Rouge, à l'ombre D'un santon, un vieux cèdre au grand feuillage sombre Croissant dans un rocher qui bordait le chemin ; Scheik Omer étendit à l'horizon sa main Vers le nord habité par les aigles rapaces, Et, montrant au vieux cèdre, au delà des espaces, La mer Égée, et Jean endormi dans Pathmos, Il poussa du doigt l'arbre et prononça ces mots : « Va, cèdre ! va couvrir de ton ombre cet homme. » Le blanc spectre de sel qui regarde Sodome N'est pas plus immobile au bord du lac amer Que ne le fut le cèdre à qui parlait Omer ; Plus rétif que l'onagre à la voix de son maître, L'arbre n'agita pas une branche .Le prêtre dit...
L’AN NEUF DE L’HEGIRE Comme s’il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne un reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu’il était chamelier. Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour, Les temps antérieurs, l’ère immémoriale. Il avait le front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent, Le cou pareil au col d’une amphore d’argent, L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l’un affirmer, l’autre...