Du porc dans des produits "halal"


Pour rappel, des produits de certaines marques ont été contrôlés positifs au porc par des analyses réalisées par des laboratoires réputés et indépendants :
1- El Saada (société SDPM)
2- Kenza Halal
3- Bonbons Fini
4- Herta qui appartient à Nestlé. Nestlé qui possède aussi la marque Maggi qui fait sa publicité actuellement pour toucher les musulmans

Vigilance pour d'autres marques

1- Socopa (groupe Bigard) : le groupe Casino a blacklisté et supprimé les produits halal de la marque Socopa de tous ses magasins pour non-respect du cahier des charges halal.
2- Quick : Socopa fournit les restaurants Quick prétendument halal en steacks hachés (ceux supprimés par Casino). Quick se fournit aussi chez Moy Park en volaille, certifié, sans contrôle systématique, indépendant et permanent par la SFCVH-mosquée de Paris.
3- Doux et KFC : Doux fournit en poulets non halal la chaîne KFC qui prétend faire du halal. Les poulets Doux non halal inondent les pays musulmans dont l'Arabie saoudite et La Mecque.
4- Carrefour halal : les produits sont certifiés par la SFCVH-mosquée de Paris. Carrefour devrait arrêter la production ou se séparer de la SFCVH en septembre. Les ventes sont catastrophiques.
5- Reghalal : les produits sont certifiés par l'ACMIF-mosquée d'Evry qui n'envoie aucun contrôleur puisqu'elle n'en emploie aucun et "fait confiance" aux partenaires industriels comme l'affirme le recteur de la mosquée sur France24.

Les mosquées certificatrices

1- SFCVH-mosquée de Paris : le reportage l'a démontré. Cet organisme n'a pas de contrôleurs salariés, envoyés sur site pour un contrôle systématique, permanent et indépendant.

2- ACMIF-mosquée d'Evry : cet organisme n'a pas de contrôleurs salariés, envoyés sur site pour un contrôle systématique, permanent et indépendant. Il a été choisi par Socopa ou Reghalal qui sont ravis de pouvoir faire leur halal dans le plus grand sercret à l'abri d'un contrôle extérieur et indépendant.

3- ARGML-mosquée de LYon : cet organisme emploie des contrôleurs. Le seul vrai problème, c'est le recours à l'électronarcose (étourdissement des volailles) qui en milieu industriel tue une partie des bêtes avant l'abattage. Il faudrait que les consommateurs fassent entendre leur voix.


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